jeudi 18 février 2010

Florence Aubenas sur le Quai de Ouistreham : quand la violence passe par la précarité

Un livre à découvrir parce que le quotidien des femmes touchées par la violence conjugale, c'est aussi parfois celui de la précarité. Ce sont pour certaines des journées à enchaîner des petits boulots. Si la violence conjugale n'est pas l'apanage de certaines classes sociales, elle est encore plus terrible à vivre lorsque la victime est plongée dans la précarité sans compter celles qui subissent des violences économiques dont malheureusement on ne parle encore que trop peu.
Plus d'infos en cliquant sur le lien.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

je finis le livre de florence aubenas cette vie est tellement dure, et en même temps pleine d'espoir alors qu'on sait ces hommes et ces femmes voués à cette vie sordide à l'infini!! qquefois on a peine à croire que ces vies soient aussi moches et je sors de ce livre interloquée en pensant que tous nos politiques qui gagnent des millions devraient avoir honte de dire qu'ils travaillent pour leur pays

 
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